Pour ce début d’année, un choix s’est imposé à moi :
J’ai fais le dernier pas de laisser la fabrication des Bansuri de côté et de centrer plus encore mon travail sur le Shakuhachi.
Cette décision n’était pas facile à prendre car Le Bansuri représente mon premier amour avec la flute !
Mais la voie du Shakuhachi est exigeante ; elle m’appelle toujours
et me demande de m’y consacrer avec dévouement.